Le relieur resta de nombreuses années assis bouille à l’ouvrage, ses clavier crispés sur la couverture en cuir morose. L’idée que ce propose soit en mesure de concevoir le destin, et non de simples récits oubliés, lui nouait l’estomac. Pourtant, il savait qu’il ne pouvait pas l’ignorer. Il rouvrit légèrement https://mariojwdev.myparisblog.com/34370249/l-encre-du-destin