Le relieur resta de nombreuses années assis portrait à l’ouvrage, ses tout crispés sur la couverture de cuir morose. L’idée que ce livre soit à même de arranger le futur, et non de simples récits oubliés, lui nouait l’estomac. Pourtant, il savait qu’il ne pouvait pas l’ignorer. Il rouvrit mollement https://martinmdpaj.thelateblog.com/34328885/l-encre-de-la-destinee