Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son rituel, attendait que l’obsidienne parle à frais. La diamant black semblait absorber la lumière de lune, pervibrer sous la pression du vent, et voire, sans prévenir, elle résonnait de cette voix https://jaidenrdotu.look4blog.com/72210429/les-empreintes-effacées