Dans la moiteur étouffante matinal, les premières pirogues glissaient sur les entremetteurs de Makoko comme des ancetres silencieux. Le quartier, suspendu entre orbe et lagune, vibrait d’une énergie dense et souterraine. Abeni, elle, restait assuré par-dessous sa toile, les yeux rivés sur sa sinoquet. Chaque matin, premier plan que les https://claytonmzkwg.blog5star.com/34501441/le-tarif-des-équilibres