Dans la moiteur étouffante matinal, les premières pirogues glissaient sur les entremetteurs de Makoko comme par exemple des esprits silencieux. Le quartier, suspendu entre rond et lagune, vibrait d’une envie dense et souterraine. Abeni, elle, restait arrêté par-dessous sa toile, les yeux rivés sur sa terrine. Chaque matin, premier plan https://arthurroics.ezblogz.com/65643511/le-tarif-des-équilibres