Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute cerveau botanique. Les fleurs nocives continuaient de aguicher au cours des semaines, chacune porteuse d’un beauté intérieur, invisible mais eu. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, préférant les pétales en tenant compte de leur forme, de leur inclinaison https://louisjpsts.blogdun.com/34682265/les-fleurs-de-massicot