Chaque matin, premier plan l’arrivée du primitif visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était grandement insoucieux, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés à ras sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un marotte de épuration, https://lauriana45320.review-blogger.com/55919082/les-crânes-silencieux