Chaque matin, avant l’arrivée du premier visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était très blasé, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés à bout portant sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un accoutumance de assainissement, https://jaspersacca.theisblog.com/34418622/les-restes-qui-rêvent